La forme juridique de l’activité hôtelière

EIRL

Quand on parle de l’EIRL, on fait directement allusion au statut d’auto-entrepreneur. Ce régime est atypique en ce sens qu’il n’est pas assujetti à un quelconque prélèvement. Cela se justifie par le fait que le chiffre d’affaire est carrément inexistant.

S’il y a par contre un chiffre d’affaire dépassant 82 200, l’on plonge directement dans le régime de l’entreprise individuel. L’on regrette cependant le fait que ce régime ne protège guère le patrimoine personnel de l’entrepreneur.

EURL ou SARL

La création d’un hôtel vous donne droit ipso facto au titre de personne juridique. Du moins, l’entreprise commerciale ici est dotée d’un patrimoine distinctif de celui de son créateur. Le plus gros avantage est le fait que les associés soient socialement protégés au vu de leur statut de salariés. En outre, ils n’ont pas droit à l’assurance chômage.

SASU ou SAS

S’il y a un régime social plus souple qui puisse exister en matière de gestion d’un hôtel, c’est bel et bien la SAS. Les associés sont au centre de la gestion de l’entreprise. Ils ont également considérés comme des salariés malgré leurs prises de décisions.

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